Lorsqu’on est en état de choc, la première phase commence toujours par un état de choc. : c’est une phase assez courte généralement mais très intense . Souvent, plus le décès est inattendu et brutal, plus le choc est violent. En effet, à ce moment là, il y’aura eu « un avant » et « un après » : la vie ne sera plus jamais comme avant. Le terme de « sidération » convient parfaitement pour décrire la réaction que l’information de l’annonce vous procurera. Juste après ce choc, vous devriez vous réveiller et prendre des mesures pour s’occuper du défunt :
Passez par la déclaration légale
La première chose à faire, c’est déclarer le décès au bureau de l’état civil de la mairie où est mort le parent. Plusieurs pièces justificatives appartenant au défunt sont à fournir : une pièce d’identité, le livret de famille et sa carte de séjour s’il s’agit d’un étranger. Il faut également donner le certificat de décès transmis par le médecin qui a constaté le décès. Attention, les règles en vigueur peuvent parfois imposer des délais qu’il est impératif de respecter pour réaliser cette démarche administrative. Puis, il faut bien évidemment organiser les obsèques. Dans ce cas, plusieurs possibilités : soit le défunt avait préfinancé ses obsèques via un contrat individuel ou de groupe, soit l’on se tourne vers les services de pompes funèbres de la commune concernée, soit l’on contacte le service de son choix.
Contactez un entrepreneur de pompes funèbres
Il s’occupe du corps du défunt et se charge de nombreuses formalités administratives et préparation comme la recherche de plaque funeraire. À cet effet, vous signez un contrat avec lui. Les frais funéraires sont déduits de la succession. Si la succession ne suffit pas à couvrir tous les frais funéraires, la famille doit suppléer le solde.